vendredi 30 décembre 2016

Comment j'ai fait connaissance de la russe et du chinois....et une idée de dernière minute pour le réveillon

Il y a des choses que l'on fait depuis des années sans trop se poser de questions....

Dire bonjour à la dame.....mettre un pied devant l'autre......

Ou alors, dans le registre culinaire, prendre une casserole pour cuire les oeufs à la coque et une passoire pour égoutter les nouilles....

Mais figurez vous qu'on avait tout faux!

Comment je le sais? Parce que je viens de terminer les MOOCs de l'AFPA.....Quesaco?

Ce sont des cours de cuisine et de pâtisserie, gratuits et ouverts à tous, sur internet. Avec des fiches techniques et des vidéos, vous apprendrez plein de choses utiles. Même si ça prend un peu de temps et si tout ne sert pas dans la vie d'une ménagère de plus de 50 ans, c'est quelque chose que je ne regrette pas.

Il est encore possible de s'inscrire jusqu'au 8 janvier. 

Tout n'est pas parfait, mais c'est une très bonne base je trouve, faite par des pros...

Bien sur, il faut ensuite pratiquer chez soi, on n'a pas encore inventé le moyen de le faire sur le net, mais si vous avez en plus besoin de conseils, il y a un groupe facebook bien actif.



Pour ma part, j'ai suivi les conseils du MOOC pour faire des petits choux, qui ont été dégustés à Noël pour l'apéritif, avec un certain succès.

En fait, j'ai repris un peu ce que j'avais déjà fait avec des éclairs, en les farcissant d'une préparation à la truite fumée.

Cette fois, c'était un pot de Madame Loïc, auquel j'ai ajouté de la ciboulette ciselée (surgelée) des petits morceaux de truite fumée, un peu de poivre et de jus de citron.




Et ces histoires de chinois et de russes du titre, qu'est ce que ça vient faire ici?

Et bien, si j'avais déjà une idée de ce qu'était un chinois, j'ai découvert que pour les pros, une casserole s'appelait une russe!



Voilà donc une photo d'une de mes russes, chapeautée d'un chinois, que j'avais reçu de la part de AZ boutique, et garnie de quelques ustensiles dont je me sers beaucoup plus maintenant, qui étaient dans la mallette que m'avait envoyée Procouteaux......On a beau dire, c'est parfois plus facile de faire les choses avec les bons outils...et si j'ai eu la chance de m'en faire offrir certains, il n'est peut être pas trop tard pour que le Père Noël vous gâte.....

lundi 26 décembre 2016

Un joli dessert avec ce dont je ne savais quoi faire.....

Pour comprendre pleinement le titre de cet article, il faudrait que celui de mercredi dernier ait eu l'honneur d'attirer votre attention.

Il s'agissait de clémentines semi confites, vues chez Carole, d'Alter Gusto que j'avais préparées sans trop savoir à quoi j'allais les employer.

Justement, dans le dernier numéro de ELLE à table, il y avait un trifle de clémentines qui semblait très sympathique. Les choses sont bien faites, non?




Les clémentines semi confites, quant à elles étaient inspirées d'une création de Pierre Hermé, "Infiniment clémentine", que je n'ai pas osé reproduire en entier.

Voilà donc ma version, doux mélange des 2 recettes:

En dehors des ingrédients notés plus bas, il faudra:


  • 12 biscuits cuiller
  • 4 clémentines fraîches
  • 3 clémentines semi confites
  • 20g de chocolat noir


Gelée:

(d’après “Infiniment clémentine de Corse de Pierre Hermé)

  • 150ml d’eau minérale
  • 80ml de jus de clémentine
  • 40ml de jus de citron
  • 30ml de sirop des clémentines semi confites
  • Le zeste d’une clémentine
  • 50g de sucre en poudre
  • 2 c à s de gin
  • 4 feuilles de gélatine

Faire tremper la gélatine dans un peu d’eau. 
Faire bouillir l’eau minérale avec le sucre et le zeste de clémentine, amener à ébullition et laisser bouillir 2 minutes puis laisser infuser 5 minutes.
Retirer le zeste, ajouter la gélatine égouttée, bien mélanger puis ajouter les jus et le gin. Mélanger et laisser tout à fait refroidir.

 Crème pâtissière:

  • 25cl de lait
  • 2 jaunes d’oeuf
  • 1 baton de vanille
  • 30g de sucre en poudre
  • 25g de fécule de maïs


Faire chauffer le lait avec la gousse de vanille coupée en 2 dans la longueur. 
Battre les jaunes d’oeuf avec le sucre jusqu’à blanchir le mélange, ajouter la fécule et bien mélanger.
Verser une partie du lait chaud sur le mélange, en remuant bien, puis le reste du lait, toujours en remuant. Reverser dans la casserole et cuire jusqu’à ébullition, toujours en remuant. Laisser bouillir 2 minutes puis réserver, filmé au contact.

Dans un saladier transparent, mettre 12 biscuits cuiller.

Eplucher et couper en tranches 4 clémentines et répartir les plus belles sur les bords. Mettre les morceaux restant au dessus des biscuits.

Couper 6 demi clémentines semi confites en petits dés et les répartir sur les fraîches. Couler la gelée froide mais non prise par dessus. Couvrir d’un film et mettre au froid au moins 2 heures.

Monter au fouet 20cl de crème fleurette. L’ajouter à la crème vanillée et répartir le tout sur le plat de gelée et de fruits. Filmer et garder au froid au moins 3 heures.

Au moment de servir, on peut râper du chocolat noir par dessus.




Vous aurez certainement remarqué que les photos ont été prises avant qu'il y ait du chocolat  râpé par dessus. Mais je l'ai mis juste au moment de servir (il attendait au frigo) et je n'osais pas infliger une séance photo aux invités qui attendaient leur dessert. Et puis le soir la lumière était moins propice aux photos!

Bref: les invités ne l'ont pas attendu trop longtemps et j'ai même fait très plaisir à un vrai britannique, qui a dit n'avoir pas mangé un tel trifle depuis longtemps....non, non, je ne pense pas qu'il se soit moqué!

Comme cadeau de Noël en retard, si vous vous sentez plus courageux ou téméraire que moi, voici un petit film expliquant la vraie recette de Pierre Hermé, vous me la montrerez si vous la faites?





dimanche 25 décembre 2016

mercredi 21 décembre 2016

Vous savez toujours pourquoi vous faites les choses?

Question philosophique du mercredi.....

C'est vrai ça, parfois on fait quelque chose et tout de suite après on se demande bien pourquoi on s'est laissé entrainer là dedans. Je ne sais pas....par exemple, dire oui à une invitation alors qu'à chaque fois on en revient en disant "jamais plus".....ou prendre un abonnement dans un club de gym, en sachant bien qu'on n'ira pas 3 fois.....

Mais ça peut aussi être bénéfique de faire quelque chose sans savoir pourquoi....on peut avoir une bonne surprise après.

C'est un peu ce qui m'est arrivé avec cette recette, vue sur Alter Gusto. Carole elle même l'avait empruntée à Pierre Hermé.....je ne me lance quasiment jamais dans des recettes de grands pâtissiers....mais là:



D'accord, elle le dit elle même, ce n'est même pas une recette, à peine un morceau de l'une d'elle, mais je n'ai pas su résister:

Clémentines semi confites (d'après Pierre Hermé)

  • 7 ou 8 clémentine bio de Corse IGP
  • 1/2 litre d'eau minérale (eau filtrée pour moi)
  • 250g de sucre en poudre
Laver les clémentines. Avec un couteau à dents, retirer les 2 extrémités puis les couper en 2 de haut en bas.

Faire bouillir de l'eau dans une casserole, avec une c à c de bicarbonate, y plonger les clémentines et les laisser 2 minutes. Les égoutter, les rincer à l'eau froide et recommencer 2 fois (sans bicarbonate).

Mettre l'eau et le sucre dans la casserole et faire bouillir. Y mettre alors les clémentines et déposer par dessus un cercle de papier cuisson, avec une cheminée au dessus. Laisser frémir tout doucement pendant 2 heures.

Mettre en bocal et laisser refroidir.

C'est différent des clémentines confites, beaucoup plus humide, mais le goût est irrésistible.

Mais ensuite....on en fait quoi?

Vous trouverez une bonne idée sur Alter Gusto. Pour ma part, j'en ai utilisé une partie pour bricoler des muffins.



La recette:
  • 1 ou 2 clémentines semi confite (100g environ égouttées)
  • 1 oeuf
  • 120g de farine avec levure incorporée
  • un peu moins de 120ml de lait fermenté (voir plus bas)
  • 50g de sucre en poudre
  • 40g d'huile d'olive
1 heure environ avant de commencer, laisser égoutter les moitiés de clémentine, en recueillant le jus.

Compléter le sirop récolté jusqu'à 120ml avec le lait fermenté.

Couper les clementines égouttées en petits morceaux.

Battre dans un bol l'oeuf, l'huile et le lait parfumé.

Mélanger la farine et le sucre dans un grand bol. Ajouter les clémentines.

Ajouter les éléments liquides aux éléments secs et mélanger rapidement.

Répartir dans 6 moules à muffins individuels et cuire environ 25 minutes à 180°.




Avec une bonne tasse de thé, c'est divin! Ils sont moelleux et parfumés.




D'accord, il faut aimer les clémentines! mais j'imagine que si vous n'aimez pas ça, vous n'êtes même pas arrivés jusqu'au bout de ce billet!

Et sinon, vous savez pourquoi vous êtes arrivés ici quand même?....


dimanche 18 décembre 2016

Quand la ménagère cuisine de saison et local, mais européen quand même...

La ménagère est parait-il le coeur de cible des publicitaires car elle serait la décisionnaire de l'approvisionnement familial. 

Bon, il parait aussi que c'est celle de moins de 50 ans.....ce qui voudrait dire que je ne les intéresse plus trop.

Tant mieux dans un sens: quand on a décidé d'acheter au maximum en circuit court et de saison, la publicité n'entre qu'en petite partie dans la décision.

Le local, par chez moi, même si on essaye d'acheter français, il déborde un peu la frontière. La Belgique est plus proche que bien des régions françaises. On va donc dire qu'on est européens, ça facilitera les choses et ça ouvre un peu l'esprit que certains ont tendance à nettement rendre étroit ces derniers temps.

Bref, tout ce baratin pour vous présenter une recette de saison, franco-belge:


C'est beau, non?......

Même si on n'aime pas ça dans son assiette, on peut admirer , non?

Du chou rouge donc, avec une recette que je vais envoyer à Cuisine de Gut qui a la bonne idée chaque mois de collecter ce qu'on peut faire avec des fruits et légumes de saison. 

Chou rouge au sirop de Liège:

  • 1 oignon
  • 1 petit chou rouge
  • un peu d'huile (d'olive pour moi) ou de beurre, ou de saindoux
  • 2 belles c à s de sirop de Liège
  • environ 1 verre de vinaigre de cidre
  • sel, poivre
Eplucher et émincer l'oignon. Nettoyer le chou et le couper en lamelles.

Dans une cocotte faire chauffer un peu de matière grasse et y faire revenir l'oignon sans coloration.

Ajouter le chou, le sirop de Liège, sel et poivre et mouiller avec le vinaigrer. Bien mélanger et cuire à couvert à feu doux, en remuant quelquefois jusqu'à ce que le chou soit fondant. Ceci prend environ 1 heure.

Selon que l'on aime plus ou moins l'acidité, on peut mettre plus ou moins de vinaigre, il faut donc le mettre progressivement et goûter. De même pour le sel et le poivre.



Vu comme ça, il n'est peut être pas très tentant, mais il faisait à peine clair et bien froid....d'où la vapeur autour de l'assiette....servi avec des saucisses et des pommes de terre, ça nous a bien réchauffés!

Le sirop de Liège est belge, c'est un sirop très concentré de jus de pommes et poires. Une gelée de pommes pourrait peut être faire aussi l'affaire, mais je pense qu'on doit maintenant en trouver en France, ou en commander sur internet.


Si vous aussi voulez cuisiner de saison, ou trouver plein de recettes, rendez vous donc sur Cuisine de Gut, il y aura sans doute votre bonheur.

mercredi 14 décembre 2016

Envie d'un truc un peu relevé....et un peu coloré.

Quand j'étais petite, je n'aimais pas les lentilles......quand j'étais moins petite aussi d'ailleurs.

Mais avec l'âge, les goûts changent et, même si je ne ferais pas 2 km à genoux pour en trouver, je peux dire que j'apprécie. 

De toute façon, MrD aime ça et j'en ai plusieurs fois par an dans mon biocabas (les légumes frais ne sont pas toujours tous au rendez vous l'hiver dans la région), il a bien fallu que je me fasse une raison.

Pourtant, je trouve toujours que ça nécessite d'être un peu relevé, sinon ça devient vite fadasse....alors quand je suis tombée sur cette recette, dans le blog "Maman.... ça déborde", j'ai couru acheter du chorizo...enfin, couru....avec modération, il ne faut pas exagérer quand même! 



La recette:

  • 400g de lentilles
  • 150g de chorizo
  • 400g de dès de pulpe de tomate en boite 
  • 1 bouquet garni
  • 2 oignons
  • 2 gousses d'ail
  • 1 c à s d'huile d'olive
  • 1 c à c de piment d'espelette
  • sel, poivre
Mettre les lentilles dans une casserole avec le bouquer garni, couvrir d'eau froide et porter à ébullition. Laisser ensuite frémir une vingtaine de minutes, jusqu'à ce qu'elles soient cuites.

Eplucher et émincer les oignons et l'ail. Les faire revenir dans une sauteuse avec l'huile d'olive pendant quelques minutes, puis ajouter les chorizo coupé en rondelles. 

Ajouter la tomate, mélanger et laisser cuire une trentaine de minutes, ajouter les lentilles égouttées, saler et poivrer, et mijoter encore une dizaine de minutes. 

Ajouter le piment d'espelette quelques minutes avant la fin de cuisson, gouter et rectifier l'assaisonnement.



Vu comme ça, c'est quand même plus tentant non?


dimanche 11 décembre 2016

Au moins maintenant, je sais faire des nouilles!

C'est rigolo comme c'est un peu la référence en cuisine. On dit: "Je ne sais pas s'il sait même faire cuire des nouilles!" de quelqu'un qui aime surtout mettre les pieds sous la table. 

Certains me diront que c'est en fait tout un art de réussir leur cuisson parfaite, mais je ne pense pas que celui (ou celle) qui est visé dans ce genre de réflexion s'en soucie beaucoup....

Mais là n'est pas le sujet. 

En fait, depuis le temps que ça me démangeait, j'ai sauté le pas et fait des pâtes fraîches de mes petites mains. Enfin, surtout de la machine que j'ai eu la chance de recevoir de AZ Boutique pour tester leur site et leurs produits. 

On a un choix assez énorme chez eux, mais moi j'ai voulu ça:



Je parle de la machine, hein? ils ne m'ont pas envoyé de pâte par la poste!

Et parce que, pour une première, je ne voulais pas faire simple, je me suis servie de ça:


Une courge butternut confite au four, selon une recette piquée chez Boljo, juste saupoudrée ici de zaatar. 

Recette express:

Vous la coupez en 2 et vous retirez les graines (c'est fini pour les manipulations....après ça se fait tout seul...)

Au four sur une plaque: 45mn à 150° puis 40mn à 120° et 20mn à four éteint

Et après, on mange ça comme ça, ou on retire la chair pour en faire plein d'autres trucs.....

Des pâtes par exemple!



Cette fois, c'est sur un joli blog, Tomates sans graines, que j'ai trouvé:

Pâtes sans oeufs à la courge butternut:

  • 280g de chair de courge cuite
  • 300g de farine de blé complet T110
  • 200g de semoule fine de blé dur
  • plus ou moins 10cl d'eau
Dans un grand saladier, mélanger la courge avec la farine le et la semoule. Ajouter l'eau progressivement en malaxant bien avec les mains. La pâte doit être souple et non collante. On ajoute un peu d'eau ou de farine jusqu'à obtenir la consistance souhaitée.

Idéalement, il faut la pétrir un peu puis la ramasser en boule, la filmer et la laisser reposer une heure au frais.

Ensuite, sur un plan de travail fariné, et un bol de farine à portée de main, faire des petits pâtons. Passer ceux ci un par un au laminoir, plusieurs fois d'abord à l'écartement le plus large, en repliant la pâte à chaque fois, puis à des écartements inférieurs. Quand on en est au plus fin, on ne fait qu'un seul passage.

Il faut se fariner régulièrement les mains et saupoudrer aussi les bandes de pâte.

Pour ma part, j'ai fait d'abord des larges bandes, étalées sur du papier fariné, avant de les passer dans la partie de la machine qui les découpe. 

Vous trouverez sur le net plein d'articles ou de vidéos qui seront sans doute plus généreux en détails que moi pour les différentes étapes.

Ma pâte avait une nette tendance à se déchirer au début, mais le coup de main est progressivement venu....ceci dit, les quantités données font quand même beaucoup pour 2 et une partie de ma production (avant laminage) attend au congélateur que je m'en occupe.



Il ne restera qu'à les cuire dans beaucoup d'eau bouillante salée, environ 5 minutes (goûtez avant, elles peuvent cuire plus vite si elles sont plus fines que les miennes)

Sur les photos, j'ai mis un peu de purée de courge, pour un peu de couleur....dans la vraie vie, on les a mangées avec juste un peu de crème, en accompagnement de St jacques juste poêlées...un régal, mais la lumière du soir ne rendant vraiment pas les assiettes photogéniques!

En tous cas, je suis contente de ma nouvelle acquisition et je remercie AZ Boutique. J'avais aussi choisi un autre ustensile, mais ne l'ai pas encore utilisé.

Et si vous n'avez plus de couverts montrables, ou envie de changer, allez donc faire un tour sur la page Facebook de AZ Boutique, il y a en ce moment un concours qui peut vous permettre de gagner une ménagère en inox Guy Degrenne. Un beau petit cadeau pour la fin de l'année.....pour manger des nouilles!

mardi 6 décembre 2016

On peut être une ménagère de plus de 50 ans et apprécier les réseaux sociaux....

C'est vrai ça, ce n'est pas parce qu'on avance en âge qu'on se contente de lire des revues pour retraités et qu'on passe ses journées à tricoter et faire des mots croisés.

De toute façon, les jeunes de maintenant seront des vieux branchés, alors autant s'y mettre tout de suite.

Moi, en ce moment, c'est Instagram qui me branche. Bon, je sais, ce n'est pas forcément le plus jeune, mais on y trouve de tout: des photos jolies, drôles, culinaires, paysagères, animalières.....

Les petits challenges où on cherche chaque jour une photo sur un thème me mettent de bonne humeur et rendent les trajets vers le boulot ou les courses plus courts en traquant la bonne image.

Et puis on trouve des idées de cuisine, qu'on peut adapter ensuite.....





Cette photo par exemple, c'est une photo de Darya, présentant des poires au four au sirop d'érable qui me l'a inspirée.

Chez moi ça a fini en gâteau....

La recette:

  • 4 grosses poires pas très mûres
  • 30g de beurre 
  • 3 c à s de sirop d’érable
  • 2 gros oeufs
  • 200g de farine avec levure incorporée 
  • 100g de fécule de maïs
  •  90g de sucre en poudre
  • 1 yaourt nature
  • Le contenu du pot de yaourt de lait 
  • 90g d’huile d’olive


Dans un plat à manqué allant sur la plaque et dans le four, mettre le beurre.

Éplucher les poires et les couper en 8, faire chauffer le beurre et y mettre les poires. Arroser du sirop d'érable et laisser cuire jusqu'à ce que les poires soient tendres et commencent à colorer. Le sirop d'érable devient plus sirupeux encore. Réserver.

Battre les oeufs avec le lait, le yaourt et l’huile.

Dans un autre plat, mélanger la farine, la fécule de maïs et le sucre.

Verser les éléments liquides sur les éléments secs, en mélangeant avec une cuiller et sans chercher à homogénéiser.

Verser la pâte sur les poires et cuire au four préchauffé à 180° pendant environ 30 minutes.


Laisser refroidir le gâteau dans le moule une dizaine de minutes puis le démouler et le poser sur une grille.




Ceci dit, les poires au four, il faudra que je teste aussi.....ça semble bien bon!

Quant à Instagram, si vous voulez m'y retrouver, j'ai mis ce qu'il faut à droite de ce blog.....